Lost In Cocktown

 


Lost in Cocktown


Depuis toujours, mon père est un modèle pour moi. Il est gentil, drôle, attentionné. Je n'ai jamais compris pourquoi ma mère l'a quitté quand j'avais dix ans. "Elle n'aime plus papa" m'a-t-il dit à l'époque, ce à quoi j'ai répondu, enfant innocent, "moi je t'aime beaucoup Papa". Et j'ai donc eu le droit à un câlin de mon paternel, qui a tout fait pour s'occuper de moi du mieux possible dans notre lointaine cambrousse. Cocktown, dans le Minnesota, à trois heures de route de la plus grande ville du coin - il en faut au moins dix pour aller à Chicago.


Pour les amoureux de la nature, c’est l’endroit rêvé : entre les grandes forêts, idéales pour le vélo, le footing, le camping, et les lacs pour la baignade et autres activitées aquatiques, il y a de quoi faire. Pourtant, les seules rares animations sont dues à des touristes de passage, mais qui arrivent chez nous par accident, pour la plupart - au sens propre comme au figuré, soit en étant simplement perdu, soit par le malheureux hasard des petites routes sinueuses qui cachent de mauvaises rencontres… lièvres, cerfs, parfois élans ou sanglier. Et dans de rares cas, loups ou ours. Mais sans qu’il y ait de gros soucis. Ici, il ne se passe jamais rien. Si ce n’est son nom atypique, je ne crois pas que notre ville soit connue pour quoi que ce soit. Ou du moins je n’ai pas cherché. Le printemps et l’été sont relativement secs et chaud, l’automne magnifique avec les arbres qui perdent leurs feuilles, quoiqu’un peu humide. Et l’hiver, la froideur canadienne s’abat sur nous. S’il fallait cependant trouver un avantage, c’est qu’il y a peu de moustiques; au moins on peut lézarder où l’on souhaite sans finir dévoré par ces sales bêtes.


J'ai donc grandi avec Papa, ne le quittant réellement que durant quelques heures pour les cours, alors que lui travaillait. En dehors de l’école, il m'emmenait partout avec lui, faire du sport et se promener - à peu près les seules distractions dans notre ville perdue - les courses, et des tas d'autres activités que les enfants rêveraient de faire avec leur parents, comme lorsque l’on partait en vacances. Il a donc obtenu de moi cette image de père exemplaire, limite un héros, avec le corps taillé de la même manière. Notre relation était un mélange de fraternité paternelle, et puisqu'il m'avait eu jeune - tout juste majeur - cela renforçait notre proximité.


C'est en grandissant que j'ai remarqué sa silhouette découpée, ses épaules larges, ses pectoraux imposants, ses abdos carrés et ses biceps gonflés. Rien d'étonnant avec tout le sport qu'il fait, m’aidant à me sculpter après mes seize ans, mais dans une moindre mesure, pour ressembler à mon modèle. C'est vers cet âge là que j'ai marqué ma préférence pour les hommes, et la chaleur paternelle n'était pas pour me déplaire. Surtout qu'en plus de son jeune âge, il était doté de très bons gènes, et paraissait toujours avoir la petite trentaine. Ses cheveux bruns parfaitement coiffés, sa barbe de trois jours, et son torse légèrement velu et aux tétons sombres me faisaient de l'effet, à tel point que j'ai nombre de fois dû me retenir de lui sauter dessus après une de nos séances sportives.


Avant mes dix-huit ans, j'ai bien eu une espèce de première expérience sexuelle en me branlant avec un pote, qui a déménagé à Los Angeles, puis une fois ma majorité passée avec un mec de passage. La trentaine, brun comme papa, je me suis approché sans hésiter quand j'ai vu qu'il avait un problème avec sa voiture. Comme je suis plutôt doué de mes mains, je l'ai aidé, et je suppose que la vue d'un beau minet penché sur sa bagnole lui a donné des idées. Mais même si je lui ai accordé une pipe - la première de ma vie - et que devant ma dextérité il a souhaité faire un peu plus, je n'ai pu m'y résoudre. Puis surtout mon véritable fantasme allait m'attendre, ce mec n'était qu'une pâle copie. Une clé de bras l'a convaincu que la force ne lui était d'aucune utilité contre moi, et je suis rentré.


Bonsoir Papa !


Bonsoir Enki ! Tu es en retard, comment ça se fait ?


Je n'ai pu m'empêcher de rougir, Eden, mon père, débarquant devant moi en short, son sexe imposant balancé par ses pas - bien plus attirant que le mec dont je m'étais occupé, et je le savais sans même voir l’engin paternel.


Il y avait un mec en panne sur le chemin du retour. Le temps de trouver l'origine du truc, sur son Aston Martin.


Un modèle récent qui en a sous le capot j'imagine ?


Ouais, le mec était un frimeur.


Reniflement dédaigneux de mon père, lui qui roule dans un vieux Chevrolet increvable; on l’a déjà réparé de fond en comble, c’est grâce à lui que je sais un ou deux trucs en mécanique. Moi je me perds sur son torse, bien plus sexy que celui du mec que j'ai sucé. Il ne remarque pas mon inattention et prépare le repas dans cette tenue.


Nous en sommes restés là, sans discuter plus, et après le repas je me suis douché.


Enki ? Je peux rentrer pour utiliser les toilettes ?


Je suis tiré de ma rêverie sous l'eau fraîche et m'empresse de répondre à l'affirmative. Je lui tourne le dos, me frictionne avec le savon. Je l'entends ronchonner en même temps qu'il utilise les cabinets :


Tu devrais prendre un bain plutôt que laisser couler l'eau pendant des heures !


Je tourne la tête vers lui.


J'ai presque fini !


Mes yeux tombent sur son sexe. Ma mâchoire se décroche et je me détourne immédiatement, instantanément raide. Il ne bande pas et pourtant elle est aussi grosse que la queue du mec dont je me suis occupé. Ça, ça doit être quelque chose à prendre en bouche et dans le rectum ! Une fois gonflée, elle lui arrive probablement au genou!


J'entends la porte s'ouvrir et se refermer, immédiatement j'attrape mon pieu - certe généreux mais bien moins que mon fantasme divin - et entame un mouvement furieux afin de calmer mes pulsions. Qui ne se sont calmées qu'une fois couché, après m'être drainé les burnes. Je me suis donc endormi presque soulagé, chatouillant mes tétons pointus, et avant de rejoindre le monde des rêves, je me suis fait la promesse de poser mes lèvres sur lui.


Mais comment lui envoyer des signes de mes envies ? Et surtout être sûr qu'il les capte ? L'été brûlant m'a quelque peu aidé, puisqu'une fois notre sport du matin réalisé, nous nous sommes mis à traîner en boxer ou maillot de bain - ce deuxième permettant de sauter dans la piscine dès que l'on en ressent l'envie. Ou à agiter "involontairement" mes fesses devant les yeux d'Éden, pour rejoindre le transat et se mettre sur le ventre.


Enki, reste pas comme ça au soleil ! Vas plutôt dans le hamac.


Je préfère être au bord de la piscine.


Alors ne reste pas sans protection, tu vas cramer.


Je peux pas m'en mettre partout de la crème !


Je l'entends sortir de l'eau, un soupir m'échappe alors que j'imagine les dizaines de gouttes qui s'accrochent à son torse viril.


Alors donne-moi le tube, et tu m'en mettras après aussi.


Je reste sans bouger après avoir mis le flacon au creux de mon dos. J'ai un frisson quand ses grandes mains se posent sur moi, et je me dis que c'est le moment de profiter de la situation. Une fois qu'il m'en a mis partout dans le dos, je me relève - mon dieu que c'est dur de ne pas bander - et me mets face à lui.


Donne le tube que je t'en mette des deux côtés Papa.


Au début il obtempère, mais une fois mes mains posées sur son torse pour étaler la crème blanche, je le sens se crisper légèrement. Se rend-t-il compte que je fais cela pour le toucher ? Je ne sais pas si mon massage lui plaît, pas plus quand il se met à son tour sur le ventre et que je lui masse le dos. Je lance innocemment :


Je te fais aussi les bras et les jambes.


Il me semble enfin voir du mouvement entre ses cuisses quand mes mains palpent ses muscles. J'arrête une fois suffisamment proche de l'entrejambe, mais sans y toucher, puis applique de la crème sur mes bras. Il ne bouge pas, je ne sais pas s’il me regarde, alors que je me penche, me cambre, pour étaler la protection sur mes jambes. Puis je me pose sur le dos, un bras au dessus de la tête, lunettes sur le nez.


Je vois Eden essayer de repositionner discrètement le morceau entre ses cuisses, abandonner et se lever pour rentrer dans la maison. Je ne le suis pas et fait semblant de dormir. J'essaie d'écouter pour savoir où il se trouve dans la maison, me réinstalle sur le ventre, les fesses cambrées pour avoir les oreilles en direction de sa chambre, qui donne par chance sur la piscine. Soit le vent me joue des tours, soit je perçois un gémissement étouffé. Je me prends à espérer qu'il se branle sur moi, que je lui plais et que je l'ai chauffé. Mais les bruits se calment rapidement.


Après ça, il y a une sorte de froid entre papa et moi. Toujours au travail, il ne passe plus beaucoup de temps avec moi, sauf le dimanche pour notre sport hebdomadaire. Il ne semble pas faire attention à son fils, qui reste pourtant en boxer, mais sans rien faire pour tenter de le chauffer. Le reste du temps me paraît long sans lui, et j'essaie de me comporter en garçon modèle : repas prêt et équilibré quand il rentre, ménage, bref, son elfe de maison personnel. Et quand je vois un mec dehors, je ne peux m'empêcher de le comparer à celui qui est au-dessus de tous : untel n'a pas la peau si attirante, untel les lèvres moins charnues, tel autre une bosse moins proéminente, encore un autre une voix moins sexy. Le demi-puceau que je suis ne fantasme que sur lui, dont la virilité n'est pas à prouver et dont le sexe quasi divin doit combler au delà de l'imaginaire. Deux semaines passent ainsi. Vive les vacances... Même si le fait d'être seul me permet d'étudier mon corps plus en détail.


C'est ainsi que je suis surpris en plein après-midi, alors que deux de mes doigts explorent mon intimité.


Enki ? Tu es en haut ?


Je sursaute et retire plus rapidement qu'il le faudrait mes phalanges, remets rapidement un boxer et sors de la chambre au moment où il atteint le haut de l'escalier.


Enki, ça y est je suis en vacances ! Désolé de t'avoir un peu délaissé depuis quelques temps, j'avais une surcharge de boulot.


Je fonce me coller à son torse nu et l'embrasse dans le cou :


T'en fais pas Papa, je comprends.


Je me frotte involontairement contre sa bosse et fuis alors qu'un mouvement a lieu - mais dans son boxer ou le mien ? Je file dans la cuisine préparer ses pancakes préférés, tout heureux de me dire que finalement Eden ne m'en veut pas. Je l'entends aller se doucher alors que la poêle chauffe. Je suis tellement heureux que je me dandine sur la musique qui résonne dans le salon.


Tu adores toujours cette musique toi !


Je manque d'en laisser tomber la crêpe briochée et me retourne. Il est entré silencieusement dans la cuisine, et est désormais en slip, jambes écartées, assis sur une chaise. Le paquet me semble bien gros. Le mien se déploie sans que je ne puisse m'en empêcher.


J'ai bien réfléchi Enki. À ce que tu as fais au bord de la piscine.


Je pâlis. Et j’éteins le feu.


Approche.


J'obéis, tête basse.


Tu aimes les mecs ?


Oui. Mais surtout toi.


Punaise, qu'est-ce qui m'a pris de dire ça ? Il va me dire que je suis un détraqué, m'envoyer dans un asile psychiatrique !


Ça fait longtemps ?


Toujours, je crois. Mais depuis quelques temps encore plus, j'imagine que je te fais des choses.


Mais c'est pas possible ! Pourquoi je ne retiens pas ma langue?


Je t'excite ? Tu te branles en pensant à moi ?


Oui t'es super excitant, beau, musclé, avec ta grosse bosse.


Et qu'est-ce que tu t’imagines en train de me faire ? Montre-moi.


Je relève la tête et le regarde dans les yeux. Est-il sérieux ? Je vois un espèce de doute dans son regard, alors que sa tige devient de plus en plus à l'étroit dans son sous-vêtement.


J'avance de quelques pas et tombe à genoux devant lui, me mettant à embrasser son torse légèrement velu. Je viens sucer ses tétons foncés tout en posant les mains sur ses cuisses pour les caresser, jusqu'à remonter vers son morceau qui manque de faire craquer le tissu. Ma langue descend donc sur son ventre jusqu'à libérer le monstre. Je pensais sexe divin, mais il est encore plus gros que je le croyais, d'une longueur et d'une largeur incroyable. Je lape la goutte de pré-sperme qui pointe sur son méat, et la saveur délicieuse me pousse à prendre le gland en bouche. J'essaie d'en avaler le plus possible, mais à peine un tiers de son épieu me remplit déjà la bouche. Je voudrais bien déguster cette immense sucette en intégralité, mais je m'étrangle à essayer. Alors je stimule principalement son énorme gland et le branle des deux mains en même temps; mes efforts me régalent de grosses perles de mouille. Je pose une main sur ses boules, grosses et lourdes - elles doivent être bien pleines! Je fais courir ma langue le long de sa batte de baseball, viens gober ses noix et les fais rouler sur ma langue. Ses gémissements virils me stimulent et je remonte le sucer avec frénésie, de peur de jouir trop rapidement sans me toucher et de découvrir que tout cela n'était qu'un rêve... Ou qu'il le regrette avant d’avoir été jusqu’au bout !


Sa main caresse mes cheveux et il tente de me donner un rythme, mais abandonne : vu la taille de sa queue et mon manque de pratique, je mets involontairement les dents. Il me laisse donc le gland en bouche et se lève pour se branler la hampe.


Regarde-moi. Oui comme ça c'est parfait. Oh oui vas-y, fais passer ta langue dessous, oh oui, ooooooh !


Le méat s’écarte pour laisser passer une crème de ce gland qui pulse et que je me dépêche de gober. Je ne compte pas les jets qui m'arrivent en bouche mais avale tout au fur et à mesure, et je continue à téter quand le flot sacré se tarit, sans prêter la moindre attention à la tâche humide entre mes cuisses. Je ne me suis même pas senti jouir. Je palpe ses bourses, histoire de boire jusqu'à la dernière goutte, mais il me retire sa queue de la bouche et me tapote les lèvres.


Ça suffit, tu as tout bu, petit gourmand ! Tu peux continuer à cuisiner.


Je me relève donc, les jambes un peu roides, les yeux fixés sur son pieu qui ne dégonfle pas énormément. Le temps que je rallume la plaque, je l'entends marmonner, plus pour lui-même que pour moi :


Pfiouuu, ça fait du bien.


Puis plus fort :


Ça fait un bout de temps que je suis célibataire et malgré ton innocence, j'ai jamais été si bien sucé ! T'en avais vraiment envie hein.


J'acquiesce simplement et essaie de me concentrer sur le pancake qui cuit, alors que ma langue tourne dans ma bouche pour garder le plus longtemps possible la douceur salée que je viens de déguster.


Je crois que j'en avais aussi envie. Je t'aime mon Enki.


Murmuré au creux de mon oreille, j'en frissonne. Puis il va allumer la télé grésillante - il paraît que d'ici 2000 on captera parfaitement, mais à moins qu'un riche investisseur s'installe dans le coin il faudra encore longtemps se contenter de la radio je pense, et on n'est pas près d'avoir accès au réseau de l'Internet !


Une fois la petite montagne formée, je la recouvre des choses que mon Eden adore, puis lui apporte sur la table basse.


Quand même Enki, tu aurais pu te nettoyer et changer de boxer !


Je regarde entre mes jambes et voit la tache blanche humide. Autant la jouer provocation...


Mais ce boxer me moule bien, tu trouves pas? Puis toi aussi t'es humide.


Ouais, mais moi j'ai un bon petit garçon qui va me nettoyer ça, n'est-ce pas ? Et tournes-toi pour voir ?


Je ne me fais pas prier et cambre même les reins. C'est de lui que je tiens ce fessier rebondi et ces hanches fines. Et en tournant la tête, je constate qu'il apprécie la vue ! Son sexe se tend à nouveau, étirant la tâche de mouille. Je m'installe donc à nouveau entre ses cuisses et fais glisser le triangle de tissu jusqu'à ses chevilles pour l'observer totalement nu. Si désirable. Je me jette sur son bâton, torse droit avec le cou, et force en gorge profonde. J'arrive à prendre la moitié avant de recracher en toussant, les larmes aux yeux.


Oh punaise c'est trop bon, recommence !


Plus je me la mets en bouche, plus il rentre facilement, je n'en reviens pas et lui non plus.


À croire que tu es fais pour me servir !


Oh oui Eden !


Et dire que j'avais des scrupules, alors que ma petite salope de fils n'attendait que ça.


Il m'attrape la tête et force jusqu'à ce que ma bouche se pose sur son pubis taillé avec soin. Il me laisse le recracher immédiatement, respirer, puis recommence encore et encore. J'ai la gorge en feu, mais je bande dur ! Entre ma salive et sa mouille, je fini par m'habituer, et son énorme bite coulisse presque aisément. C'est vraiment incroyable que je réussisse à avaler une telle bite de cheval avec tant de facilité !


Il me retire mon gros biberon et me pose ensuite sur le canapé. La tête en arrière, il me pénètre à nouveau la gorge, mais plus en profondeur. Ses râles m'excitent tout autant que la sensation de me faire prendre la bouche. Ses grosses boules me fouettent le front, il se fait plaisir. Même à l'envers, sans voir ce que je fais, je lance mes mains pour chatouiller, titiller son corps, et il semble beaucoup apprécier mes tendres caresses tout autant que lorsque je lui pince les tétons. Ses gémissements virils s'accentuent, son sexe gonfle encore, écartelant ma gorge, ses bourses se soulèvent, tombent sur mes yeux, et je sens le torrent bouillant qui me coule au fond de la gorge, directement déposé dans mon estomac. Grand prince, il se retire avant de s'être totalement vidé, que je me régale de quelques rasades de son jus délicieux. Nous reprenons notre respiration en même temps que je continue à téter son gland - c'est trop bon et mes hormones me disent de ne pas arrêter !


Tu en veux encore ma petite salope ?


Oh oui Papa !


Alors je vais m'occuper de ton petit cul.


Je lui précise que je suis puceau de ce côté, qu'il faut y aller en douceur.


Mmmmh parfait, je vais être bien à l'étroit, j'adore ça. Ça faisait bien longtemps que je ne m'étais pas vidé et j'ai le droit à la meilleure baise de ma vie. Allez, tourne-toi mon fils, tu vas découvrir ce que c'est de se faire prendre par ton Mâle !


Il arrache presque mon boxer et écarte les deux globes de chair bombés pour dévoiler mon petit bouton rose. Entre ses jambes, son sexe pulse, toujours gonflé.


Punaise t'as vraiment le plus beau cul que j'aie vu, je te prendrais à sec si je t'aimais pas. Mais mon beau petit mec je vais en prendre soin, et on le refera souvent, ok ?


Oh oui Eden ! J'ai trop envie de faire ça tous les jours et même plusieurs fois par jour.


Tant mieux. Car comme t'as pu le voir je jouis beaucoup, et tu m'as allumé alors que j'arrivais à oublier le sexe. Donc tu vas devoir me soulager aussi souvent que j'en ai besoin.


Comment tu as fait pour te passer de sexe pendant des années ?


Le sport, jusqu'à l'épuisement. Assez discuté j'ai envie de te carrer ma grosse queue dans le cul !


Sa langue vient chatouiller ma rondelle avec frénésie, sa barbe de trois jours râpe sur ma peau, c'est délicieux. Rapidement il glisse un doigt en supplément, puis deux, trois. Simplement les deux pouces pour écarter après ça. Je ne fais plus attention, je sens juste qu'il me prépare en douceur à recevoir son immense pieu. Après plusieurs minutes de préparation, il me redresse et me fait prendre en bouche d'un trait son sexe pour le lubrifier, fait quelques mouvements. Une fois bien dur, il me place sur le dos, un coussin sous les hanches et écarte mes cuisses au maximum. Je saisis mes brioches et les écarte.


Tu te verrais Enki... Un appel au sexe. Tu veux que je te la mette ?


Oui vas-y Papa, j'ai trop envie ! Remplis-moi avec ton énorme bite de mâle et ton jus !


Avec plaisir !


Il coulisse un peu entre mes fesses histoire de m'exciter davantage, je sens que je palpite. Puis son gland accroche l'anneau qu'il a détendu et il s'enfonce prudemment en moi en petites avancées régulières. Je suis totalement détendu et ouvert, les yeux exorbités et la langue pendante de l'épaisse intromission. Lui est mélangé entre le désir, l'envie d'aller plus vite, mais attentif à son avancée en moi. Quand je vois et sens son bassin contre mes fesses, je suis fier : je suis taillé pour lui, je peux lui donner plus de plaisir que quiconque. Puis il amorce un mouvement de sortie et j'ai l'impression d'être coupé en deux et de suivre l'immense glaive qui me laisse une sensation de vide énorme. Vide rapidement comblé par la généreuse pine paternelle.


Je suis aux anges, je ne sens plus que lui en moi, sur moi, autour de moi. Je me contracte sur son pieu, sens la veine qui court le long de son sexe, et gémis des pulsations de son gland. Prendre si gros pour une première, c’est en même temps incroyable et un bon présage pour la suite, qu’est-ce qu’on va s’amuser ! Il semble entendre mes pensées puisqu’il me retourne sur le ventre, plonge au plus profond de mon cul et accélère sa pénétration :


J’adore comment je suis serré ! Je vais bientôt jouir ma petite salope, je vais te remplir le cul !


Il me mord dans le cou alors que je saisis mes fesses pour les écarter au maximum, je gémis à chaque coup, je suis en feu ! Il me serre fort dans ses bras et me tamponne allègrement, ses grands râles virils annonciateurs du final.


Vas-y Papa, je suis tout à toi, mets-moi la dose !


Ooooooooh !


Il se plante au fond et je sens le geyser tout autant que le gonflement encore plus important de son sexe. La sensation me fait jouir, il m’a rempli des deux côtés… je lui appartiens. Son sexe sort de mes fesses avec un “pop” humide, je me retourne et nettoie sa branche couverte de sève blanche.


Ehhh, calme toi Enki, t’es vraiment affamé hein ?


Oh oui elle est trop bonne ta bite.


Je lui fais un regard que je suppose soumis.


Écoutes, soyons clairs, j’ai pas envie d’être dominant. Là c’était un peu sauvage, mais parce que ça faisait longtemps que je n’ai rien fait. Et ça fait du bien. Mais je t’aime et je veux prendre soin de toi, tu comprends ?


Mais… Tu as pas aimé ?


Il lève les yeux au plafond.


Bien sûr que si, j’ai adoré même, et je veux recommencer. Mais il faut pas que ça se sache. On peut faire ça comme… deux amoureux, des amants, pas comme deux bêtes sauvages. Et certainement pas d’esclave sexuel.


Mais tu as dit que je suis ta petite salope.


Oui et il faut prendre ça comme un compliment, dans le sens où on est libéré sexuellement. Rien de plus. Allez viens dans mes bras.


Je suis tellement bien dans ses bras que je me mets à l’embrasser, sur le torse, dans le cou, ses joues, et il finit par poser ses lèvres sur les miennes. Je comprends ce qu’il veut finalement : de la tendresse, mais aussi assouvir ses envies d’homme. Ma foi… En plus il a l’air aussi chaud que moi… je ne vois donc pas pourquoi je refuserai. En tout cas, quel bon début de vacances !


Après cela, notre fin de journée a été plus calme, tous les deux soulagés d’un poids certains, d’hormones, et surtout les bourses vides. De plus, nous avons profité d’un peu de fraîcheur pour une séance de musculation - évidemment en boxer, ce qui a failli faire que je m’occupe d’Eden, mais il n’a rien demandé…


Je me retiens donc jusqu’au soir, au moment de rejoindre nos chambres respectives. Dans le couloir, devant la porte de ma chambre, je l’embrasse intensément sur les lèvres et il me comprime contre son torse masculin - j’aime bien son léger duvet, moi qui suis entièrement imberbe.


Tu viens dormir avec moi Fiston ?


Il ne faut pas me le dire deux fois ! Je me retrouve en moins de deux dans le lit paternel, à humer son odeur que j’adore. Je mets ma tête sous sa couette. Quand je la ressors je me prends un morceau de tissu sur le visage.


Tiens, respire ça plutôt.


Mmmmh, ça sent le sexe, mais son sexe propre de mâle. Je respire avec avidité ses effluves.


Tu sens trop bon Papa.


Ah bon ? Tiens voilà l’origine alors.


Il me grimpe dessus et me présente son sexe qui commence à gonfler. Je suis gâté, il est aussi chaud que moi… Enfin comme on dit : tel père tel fils ! Je me suis donc appliqué sur le gros morceau tout raide, seuls ses premiers centimètres dans la bouche dans cette position très excitante mais pas la plus confortable pour sucer. Seul son gros berlingot passe dans ma bouche, il a bien essayé de me faire prendre plus mais j’ai immédiatement hoqueté et protesté. Il s’allonge alors vers l’arrière et se tourne sur le côté, je mets la tête entre ses cuisses. Là, je respire son odeur et j’arrive à l’avaler en entier, c’est parfait. Pendant ce temps, lui me caresse le dos, les fesses, le service trois pièces moins impressionnant que le sien. Puis, lorsqu’il avance le bassin pour me signifier de la prendre en fond de gorge, je découvre à mon tour la sensation d’être sucé… Je veux commencer à protester, c’est à moi de lui donner du plaisir, mais il me regarde dans les yeux sans rien dire et je comprends; égalité, respect, et plaisir - pour nous deux. Je vois également de l’amour et du désir. J’attire donc sa tête et lui fais un long baiser : oui je veux ce qu’il me propose, de cette manière. Mais on peut bien s’exciter parfois en faisant des petits scénarios coquins, non ?


Je garde l’idée en tête pendant que nous reprenons notre soixante-neuf. Je jouis plus vite que lui, transcendé par la découverte de cette chaleur humide d’une caresse buccale, surtout qu’il me donne des frissons à passer doucement sa main sur mes couilles. Il prend tout en bouche et pose sa main sur ma nuque pour me donner un rythme soutenu mais pas trop. Je fais attention à le laisser aller dans ma gorge et à frotter ma langue sur toute sa longueur sans mettre les dents. Quand il gonfle d’un coup, je vois sous mes yeux ses grosses noix se soulever, et je me retrouve avec son torrent en bouche. J’avale au fur et à mesure et compte : dix… dix savoureuses giclées de jus délicieux. À la dernière, il m’empêche de l’avaler et écrase ses lèvres sur les miennes. Nous mélangeons nos langues et nos jus, faisons un combat avec nos muscles pointus jusqu’à ce que tout spermatozoïde soit avalé. Je me mets ensuite au creux de ses bras, cependant que son sexe toujours raide s’insère dans ma crevasse.


Sans difficulté, il entre en moi. J’ai un peu mal au départ - c’est qu’il m’a bien défoncé cet après-midi - mais rapidement je lâche des soupirs de plaisir intense. Ce n’est pas du tout comme tout à l’heure, il est très doux et se concentre sur mes sensations, ce qui me plait encore plus ! Je me laisse faire totalement, il stimule tout mon corps pour m’offrir un incroyable orgasme qui conduit au sien. Enfin calmés, nous restons l’un contre l’autre, et j’essaie de ne pas mettre sa généreuse jute partout sur le lit. Le regard coquin, il me titille la rondelle jusqu’à ce que je me sois refermé suffisamment.


Et voilà, tu me gardes en toi. Bonne nuit mon petit coeur.


Bonne nuit Pa…


Le sommeil me happe comme si une chape de plomb me tombait dessus.


Le lendemain, rebelote dès le lever, impossible de laisser une telle gaule matinale non soulagée. Puis je me laisse prendre des deux côtés plusieurs fois dans la journée, ainsi que le reste des vacances ! Eden n’imaginait pas que j’étais si dingue de sexe - comme lui -, et de lui, ni qu’un jour il ferait de telles choses avec moi, mais on s’aime.


A la fin de ses vacances - pas encore tout à fait les miennes - je lui manque alors qu’il est au travail. Ou l’inverse. Toujours est-il que je lui apporte son repas et je m’occupe de lui sous son bureau. J’ai trop faim de lui ! Comment vais-je faire une fois à la fac ? Un de ses collègues de la police locale passe même devant lui sans se rendre compte de quoi que ce soit, trop pressé d’aller boire sa bière apéritive. Entendant mon père soupirer que ses collègues ne sont bons à rien une fois que je l’ai fait jouir, il me vient une idée : je ne suis pas bon en cours, autant être le mécanicien des voitures du commissariat ! Et au moins nous serions tranquilles pour continuer notre manège.


Manu militari, je vais voir le Shérif - un vieux cowboy presque sénile qui a pourtant rendu service à la ville dans le passé - et qui accepte sans discuter un employé pour les véhicules plutôt que le garagiste voleur de l’autre bout de la ville, à condition que j’entretienne aussi les véhicules des pompiers. Pour m’occuper de la lance à incendie de mon paternel, je suis prêt à tout accepter !


Et donc me voilà mi-septembre en bleu de travail plutôt que sur le chemin des cours, comblé par mon travail et mon amour. Personne ne se doute de rien. De toute façon, tout le monde est d’accord sur une chose : ici à Cocktown, il ne se passe rien.


Sauf un accident du vieux Shérif au début de l’hiver. Forcé de prendre sa retraite, il lui faut un remplaçant. Mais quel fou accepterait de venir dans notre coin paumé ? Au bout de quelques semaines, un dossier nous parvient : Le CV du Shérif Wellington, un beau quadra sexy qui daigne s’exiler dans notre trou perdu...


***

 

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