Séance sportive

 


Séance sportive


Dans un univers...pas si éloigné du nôtre.


La semaine est enfin terminée. Mon nouveau job me demande énormément d’énergie. Ah, les grandes entreprises… Toujours des tas de choses à faire et pas assez de temps ! Il n’y a qu’au moment des vacances que ça se calme. Quoi qu’il en soit, rien ne me ferait rater mes séances journalières ! Le travail c’est la santé, mais un corps sain dans un esprit sain c’est encore mieux . Pour ce qui est de l’esprit, je n’en sais rien, pour le corps, il est bien taillé. Ainsi, je me sens bien, plus sûr de moi, comme une version contraire de la personne que j’étais dans mon enfance. On grandit tous dans la vie. Mais je ne me considère pas totalement comme un adulte pour autant.


Je me change dans les vestiaires pour ma séance de muscu du jour quand le coach arrive. J'aime particulièrement ce moment, celui juste avant le sport où, plein d'énergie, le corps frissonne d'excitation. Certains sont chauds après, une fois les toxines éliminées et qu’ils ont produit une certaine quantité de testostérone. Moi c’est plutôt avant, car le sport permet justement de calmer mes hormones en folies. D’ailleurs, ce n'est pas mon coach hyper sexy et ultra gaulé qui m'aide à me contenir - normal il passe sa journée à la salle, me direz-vous - en tout cas, je me retiens de lui sauter dessus à chaque fois. Il le sait et il me taquine là dessus, comme un meilleur ami, avec des rapports amicaux assez étranges, je vous l’accorde :


Salut Andrew ! Comment ça va ma p'tite salope?


Qu'est-ce que je disais... On dit parfois que les amis qui s'insultent sont de vrais amis. Il n'empêche que ça choque beaucoup de monde quand on se parle comme ça.


Hey Nico ! Bien, et toi la poupée gonflable ?Je regarde le canon dans son short beige ultra moulant et son débardeur bleu en accord avec ses yeux. Il recoiffe ses cheveux en mode beau gosse avant de me sourire et de me répondre :


Oh tu peux bien dire ma p'tite pute si ça te plait, vu que tu me payes pour m’avoir à toi en quelque sorte...


Je rigole :


T'es grave..


Bah quoi, avoue que tu voudrais une séance intensive avec une bonne bite dans l’cul ?


Mais dis donc, c’est que t'es chaud aujourd'hui ! Qu'est-ce qu'il t'arrive ?


Qu'est-ce que tu crois ? Je suis célibataire et y a ton gros cul qui vient se balader devant moi, tout simplement.


Eh un peu de respect, il est pas gros !


Ouais c'est vrai il est magnifique, on doit être bien à l’étroit dedans.


Je souris en me retenant de lâcher le "t’as pas idée" qui me trotte dans la tête. C'est vrai que mon fessier bombé est sans doute l’arme la plus efficace pour draguer les mecs. Mon look ne plaît pas toujours - on a beau faire masculin, un catogan et des petites nattes ça en arrête plus d'un, surtout ceux qui veulent le stéréotype du mâle. Je hais les clichés. Mais passé la coiffure, si je mets en valeur le reste, peu de mecs résistent, ou alors c'est qu'ils n'ont pas compris la chance qu'ils pouvaient avoir. Et le genre de mec que je choisis, eh bien ce sont souvent des répliques de mon cher coach… Depuis trois ans qu’on se connaît, à s’entraîner tous les deux jours, forcément on en apprend l’un sur l’autre. Je sais qu’il adore manger italien, que son café est bien noir avec une fois dans la journée un carré de chocolat - noir aussi - que la voiture de ses rêves est une Bentley, mais un ancien modèle (et là je ne me souviens plus lequel car je ne suis pas fan de voitures comme lui). Son sourire et son corps me font rêver depuis le début, sa plastique est celle que j’ai toujours voulu atteindre. En trois ans, je ne compte plus le nombre de fois où je me suis branlé en pensant à lui, voire où j’ai joué avec un objet en pensant que c’était la sienne. J’ai même une fois appelé par son prénom un de mes plans culs… Mais notre relation est resté toujours amicale, et surtout elle est restée confinée dans la salle de sport. Je n’ai jamais osé lui proposer de sortir entre potes, et il n’en a jamais eu envie. On peut presque penser que je suis plus un client qu’un ami. Non ! Nous sommes amis, il ne taquine pas à ce point les autres personnes à qui il donne des cours particuliers. Ma bouche s’étire quand je prends la décision de l’inviter après la séance du jour - resto, bar, peu importe, on va s’amuser.


Mon sourire s'efface et je suis légèrement perturbé quand mon coach - que je pensais hétéro au passage - baisse soudain mon short.


Eh, tu fais quoi ? Depuis quand t'es gay ?


Je fais le premier pas, puisque tu n'oses pas. J’ai toujours été gay, tu n'as juste jamais remarqué. Allez, on va s'amuser un peu, on a la salle rien que pour nous...


Son sourire et la situation ont raison de moi, je bande déjà au maximum. Depuis le temps qu'on fait du sport tous les deux... Je n'aurais jamais cru que ça puisse arriver, même si j'avoue que j'en ai rêvé, un châtain aux yeux bleus comme ça, beau gosse, sexy, ça donne faim!


            Après m’avoir totalement déshabillé, il me fait me pencher et commence à me bouffer le cul. J’en tremble de plaisir, mon fessier musclé est très sensible… Mes joues rougissent, j’ai les jambes flageolantes alors que sa langue s’amuse avec ma rondelle palpitante. En plus de sa langue, il rajoute une phalange, puis deux, et marmonne un “t’as le cul souple ma p’tite salope” avant de continuer avec plus de vigueur. Je sens que cette séance va être mémorable… Au vu de la bosse dans son short, je salive déjà, ce mec n’est pas seulement ultra sexy, il est aussi bien membré ! J’espère qu’il va y aller en douceur, même si je suis souple je n’aime pas quand ça fait mal.

Il doit sentir mon appréhension, puisqu’il attrape mon sexe, et entame un léger mouvement avant de me dire :


T’en fais pas, ça va juste être chaud, c’est clair que t’en as envie, mais je vais pas te forcer ni te prendre comme une brute.


Je le regarde, soulagé; lui a toujours cet air coquin. Qu’est-ce qu’il peut bien avoir en tête?


            J’ai rapidement la réponse, car il se relève et enlève son short, me dévoilant ainsi le lourd paquet qu’il a entre les jambes. C’est moi qui, d’office, m’agenouille pour l’avaler, d’abord son gland sombre, puis le frein. J’ai pour objectif de l’engorger en entier, mais il m’interrompt et me retire son sexe de la bouche avec un bruit mouillé - je me suis accroché à sa queue par réflexe.


        – On se calme, on a une séance de sport de prévue ! me dit-il. On va juste y rajouter du sexe, mais tu vas quand même en suer. Allez hop, c’est parti pour faire travailler les jambes, tu te mets sur la presse oblique, sans discuter.


        J’obéis donc, un peu surpris, et surtout curieux de découvrir la suite. Je mets donc le poids et m’installe. J’ai prévu plus lourd que d’habitude, comme je fais à chaque séance, mais au bout d’une série de dix, mon coach retire des plaques. Je ne proteste pas, je n’ai pas le temps, je me retrouve avec ses couilles sur le front dès que j’ouvre la bouche. Le côté sexuel en moi attrape immédiatement cette friandise et la déguste alors que je reprends une série sur ses ordres. C’est plus compliqué d’être synchronisé comme ça ! A priori il apprécie, il soupire de contentement, avance le bassin pour, cette fois, me la faire prendre en entier. Il s’appuie sur mes cuisses pour se pencher au-dessus de moi, puis me fait tenir la pose alors qu’il profite de ma bouche. Je sens son liquide pré-séminal abondant qui s’écoule dans ma bouche, je l’étale autant sur mon palais, pour me délecter de cette liqueur, que sur son gland, pour lui donner des sensations exquises. Je connais bien cette impression électrisante, le plaisir d’avoir la base de son morceau tété avec application. Ma langue tourne tout autour dès qu’elle en a l’occasion. Et je profite de mes mains libres pour pincer ses tétons ou les miens. Quel bonheur de lier deux de mes passions, le sport et le sexe !



        Il m’enlève son délicieux morceau pour me faire changer d’exercice - et pour éviter de jouir trop vite. Je me retrouve donc sur le banc à haltères, assis, un poids dans chaque main à travailler biceps et triceps. Au bout de quelques minutes mon coach m’attrape par les cheveux et tourne ma tête vers sa queue. Il me donne le rythme, c’est beaucoup plus facile pour faire mes séries, j’ai juste à garder la bouche ouverte, sans oublier le mouvement de succion. Qu’est-ce qu’il m’excite, il ne me tire pas les cheveux mais a plutôt la main posée sur ma nuque; je suis bien raide et un filet de mouille me coule le long de la tige.


        Cette fois il me laisse le sucer jusqu’à ce qu’il jouisse, il expulse de bonnes giclées abondantes qui me remplissent la bouche. Concentré sur les mouvements de mes bras, je n’ai pas fait attention à la remontée de ses bourses, c’est donc avec surprise que je reçois son sperme en bouche, laisse échapper son bon nectar par les commissures de mes lèvres, et le sens qui coule sur mes pectoraux épais. Je nettoie bien son sexe avant de laisser tomber les haltères : mes bras commencent à fatiguer. Comme il le dit lui même, c’est le moment de faire et pause, et “souviens-toi, il faut boire suffisamment pour être bien hydraté”. Nous allons donc sous les douches, puis dans le vestiaire pour prendre nos bouteilles. Il fait couler un filet d’eau sur son torse après avoir retiré son débardeur, qui était devenu inutile. La tenue d’Adam est plus pratique !


        Après avoir bu “suffisamment”, il m’ordonne d’utiliser le reste pour me lubrifier l’intérieur, surtout que le bouchon souple en silicone de ma gourde ne risque pas de me faire mal. Je me l’enfonce donc doucement - encore plus facilement que je ne l’aurais cru, c’est fou comme je suis chaud - et presse pour en faire sortir le contenu. En même temps, il me fait sucer sa queue pour qu’elle reprenne du volume. Je suis impatient de voir ce qu’il a prévu ensuite !


        La réponse ne se fait pas attendre, et j’ai le droit à une super séance de squats où, en plus de faire travailler mon dos, mes épaules et mes cuisses, j’entraîne ma rondelle. Je m’empale sur son pieux, l’avantage étant que je gère la pénétration. C’est qu’il en a une grosse, le salaud ! Et malgré l’excitation, je reste serré, mais il faut dire que j’utilise plus ma bouche que mon cul en règle générale…


        La position est plus compliquée, heureusement que la machine soutient la barre au cas où je m’écroule, j’ai les jambes qui tremblent. Rien à voir avec la position cow-boy dans un lit, ça fait encore plus travailler les cuisses. J’en tremble, et avec le plaisir que je prends à m’écraser la prostate, j’ai du mal à respirer. Je sens bien toute sa queue, sa largeur, et j’ai aussi l’impression de sentir la grosse veine qui parcourt toute la longueur de son engin. Je fais une série de squats plus longue que d’ordinaire, mais je décide ensuite d’arrêter ce genre d’entraînement. Je voudrais qu’on change d’exercice pour le prendre en entier en moi, ne sentir que la moitié de sa tige dans mon cul ne me suffit plus - même si je couine déjà bien !


        Cette fois, c’est lui qui installe un banc sous la presse verticale, puis il s’allonge et je m’assois sur son sexe dressé. Je le sens bien au fond, nous lâchons tous les deux un soupir de contentement. Il ondule du bassin pendant que je fais travailler mes bras, épaules et dorsaux. Je suis comblé! Je porte presque avec difficulté la barre, possédé par celle qui me pénètre, et il le voit bien : il me permet donc de délaisser les exercices pour me poser sur les tapis de gym. A genoux et le dos cambré, tête au sol, les fesses en l’air, il a l’accès complet à mon intimité et ne se gêne pas pour rentrer à grand coups. A présent que je suis bien ouvert, je réclame même qu’il continue. Je jouis du cul à un point tellement il me prend bien la rondelle, j’ai les fesses humides et ce n’est pas uniquement à cause de la mouille abondante !


Ses cuisses puissantes donnent le rythme et son bassin s’avance de manière de plus en plus soutenue à l’approche de sa jouissance. Mais plutôt que de jouir en moi, il se retire et ne rentre que son gland, ce qui me cause des frissons de plaisir. Je me vide sans me toucher, il m’inonde la rondelle juste après. Puis il reprend son limage pendant quelques instants pour profiter de mon anneau ouvert par sa grosse bite, allongé sur moi qui suis épuisé, vautré au sol. Je crois avoir rarement brûlé autant de calories durant une séance de sport !


        Sous la douche, il s’amuse à me faire encore gémir en jouant avec mes tétons d’une main, tandis que l’autre titille ma rondelle. Mais il est insatiable ? Non, il ne rebande pas. Il me dit juste que ça l’amuse énormément de me faire couiner de cette manière. Je veux bien le croire, mes joues rosies et mes yeux plissés, avec la bave aux lèvres, c’est tout ce qu’il y a de plus sexy !


C’est une fois rhabillés que Nicolas me propose de venir dîner avec lui au restaurant. Une fois de plus surpris, j’accepte, car même s’il est mon ami et mon coach, désormais il est un peu plus, et même sans le côté sexe, pour développer une amitié rien ne vaut les sorties et activités ! Qui sait où ça va nous mener, surtout que je crois que j’ai bien envie de recommencer une séance sportive et lui aussi...


***

 

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