Supergay

 



Supergay


Je suis un génie. Je suis spécial, jamais je n'ai vu quelqu'un qui soit aussi bien que moi. Depuis toujours, je suis l’être supérieur. Ces cloportes m’agacent ! Ils se croient meilleurs que moi simplement parce qu’ils possèdent une apparence plus désirable. Je n’en ai rien à faire, j'ai un QI bien supérieur à celui de tous mes anciens profs réunis. Mon égo ? Je suis modeste, ce n'est pas de ma faute si personne n'est aussi bien que moi.

C'est lors d'un voyage en Amérique du Sud que je trouve enfin le moyen de me venger de ceux qui m'ont pourri la vie. Au plus profond de la jungle, dans une lagune vierge de toute trace humaine, je découvre une espèce de calamars qui prend l'apparence de son environnement, et ne semble jamais fuir aucun ennemi. Leur capacité de mimétisme est telle qu'ils se camouflent en quelques secondes dans la vase. Mais impossible de les sortir de l'eau pour les étudier dans un laboratoire, ils meurent en quelques heures dès qu’on les extrait de leur lagune. Aucune importance pour moi, les étudier sur le terrain me permet d’éviter le contact humain.


En tout cas, je peux aisément comprendre que nombre de gens ne soient pas intéressés par ces animaux, aussi mignons qu'une poignée de porte gluante et n'ayant même aucun intérêt pour les fans de hentai. C'est d'ailleurs la solitude qui règne dans cet endroit éloigné des humains qui me fait rester, plus que l'étude de ces mollusques peu passionnants. Surtout que s'il y a bien une chose qui m'ennuie, c'est de passer trop de temps sur le même sujet : quelques jours maximum avant que je me lasse et ne change de sujet d'étude.


Mais avant de repartir, j’ai envie de me baigner. Ce n'est pas suffisant de crapahuter une semaine dans la jungle, et de passer trois jours au bord d'un point d'eau juste en se débarbouillant. Pourquoi ne pas profiter de la petite cascade pour me laver ? Je me déshabille donc et rentre dans l'eau fraîche, si agréable avec la chaleur ambiante qui fait suer à grosses gouttes. Je me sens bien, et les quelques jours passés ici m'ont ressourcé. La cascade est très agréable, assez forte pour masser mes muscles engourdis, mais suffisamment calme pour ne pas me noyer. À croire qu'elle vient directement des montagnes à en juger par sa pureté. Peut-être est-ce ce qui a perturbé mes sens, toujours est-il qu'en sortant de l'eau, je ne fais pas attention et marche sur un corps visqueux. La suite est floue : je ressens une brûlure au niveau du pied qui s'est transmise à tout mon corps, sans que l'eau fraîche n'apaise rien. Et c'est ainsi qu'on me retrouve environ quarante-huit heures plus tard, nu, divaguant à propos de petites saucisses piquantes dans une eau pure comme du cristal.


J'ai donc le droit à un peu de repos dans un hôpital psychiatrique, ce qui renforce mon dégoût pour l'être humain en général : sain d'esprit ou non, si vous entrez là-dedans, vous ne le restez pas longtemps. Personnellement, une fois remis de mon séjour boisé, je mets tout mon esprit à chercher comment en sortir. C’est d'une facilité déconcertante : le mimétisme est passé en moi, même s'il tient plus de la métamorphose. Mais sans savoir pourquoi, je deviens le fantasme de l'infirmière qui vient me donner mes médicaments. Facile à manipuler donc, pour sortir de là en tant que sosie de Patrick Dempsey. Après avoir enfilé des vêtements oubliés sur une chaise, je me dirige donc vers la sortie du personnel plutôt que la grande entrée. Personne ne fait attention à moi, à l'exception d'un aide-soignant face auquel je deviens Colton Haynes cette fois, et que je remercie gracieusement pour son silence en me laissant sucer. Je sens que je vais m'amuser avec ce pouvoir...


Une fois rentré chez moi sans autre rencontre marquante - même si plusieurs personnes ont eu l'air surprise de voir le mec de leur rêve quand je sens mon corps remuer et changer - je m'enferme dans ma salle de bain et pense à mon propre fantasme. Je m'attends à voir mon reflet changer mais je reste moi. Je trouve cela frustrant, pourquoi je ne peux pas tripoter Marco Dapper ? Puis je réfléchis : il serait ridicule de tomber dans son propre piège. Ou alors c'est que j'avais raison, je suis déjà trop bien, c'est ridicule de changer. Je m'en sens supérieur. C'est donc avec ce désir narcissique que je me fais un petit plaisir sous la douche.


Mais il faut l'avouer, tout détestable que soit l'essentiel de la race humaine, à force la solitude devient pesante. Et quoi de mieux que trouver quelques individus plus intéressant que la masse commune pour passer une bonne nuit? Comme ça, j’en profite pour soulager mes hormones, et le mec en question se tape son fantasme : pratique d'être métamorphe ! Après mon essai raté avec moi même, je me mets à traîner dans les bars, draguant à l'envie celui qui sera mon coup d'un soir. Au départ, je suis maladroit ; ce n'est pas parce que le corps est désirable et le fantasme de l'autre que je sais charmer. À part offrir un verre et être aimable, je ne sais rien d'autre de la séduction. J'apprends donc à user de mon corps autant que des mots, utilisant la psychologie pour qu'en face, il ne puisse y avoir de résistance, puisque c'est son mec idéal qui lui fait des propositions. Bref, une drague développée que personne ne peut égaler. Rapidement, je deviens le chasseur de cul le plus développé du bar Les trois soleils, personne ne me résiste !


Puis j'ai eu envie de plus : quel meilleur choix pour l’espèce humaine que d'être dirigée par un être supérieur ? Et puis comme ils verront leur fantasme aux commandes, ça ne peut qu'être bénéfique. Je commence donc à mettre mon plan à exécution. Et pour accéder au pouvoir de manière pacifique, quoi de mieux que d'aller voir le maire de la ville et de prendre sa place - en même temps que son cul - avec l'apparence de Brad Pitt ? Quel triomphe, les clés de la ville en main ! Un coup d'essai parfait ! Je n'ai plus qu'à faire ça à notre futur bientôt ex-président, dont je suis persuadé que la vieille peau qui l'accompagne n'est qu'une couverture, et j'aurai enfin la direction du pays entre les mains ! Et ensuite, le monde !


La bonne nouvelle, c’est que bien que je ne puisse pas utiliser mes aptitudes de métamorphe sur tout le monde en même temps, j'arrive tout de même à les séduire. Mon discours en tant que nouveau maire est un succès, je me fais acclamer alors que je me moque allègrement de l'état actuel des choses. Et leur engouement est tel que je reçois des courriers de fans en délires. Mon intérêt est grandement éveillé quand l'un de mes expéditeur souhaite me rencontrer dans le bar gay nommé La grotte du tigre ; il m’écrit qu’il jouit rien qu'à l'idée de me rencontrer. Je parie que je vais réaliser son rêve de coucher avec un acteur porno ttbm, je réponds donc à l'affirmative pour un rendez-vous, fixé le lendemain à minuit.


Après une journée passée à profiter de ma victoire je me rends donc au point de rencontre, et en entrant dans le bâtiment tapageur, propre et accueillant, je subis une première déconvenue : il est vide. La musique joue dans le vide, répand ses notes énergiques entre les tables et sur la piste de danse. La salle est à moitié plongée dans l'obscurité, et j'ai beau scruter je ne vois rien.


Au moment où j'ai l'impression de voir une ombre, la lumière éclaire soudain la salle et m'éblouit. Je découvre un homme debout, une longue cape rouge sur les épaules, le corps engoncé dans un de ces costumes de héros moulant. Lorsqu'il se tourne vers moi et me regarde dans les yeux, je sens mon corps se modifier selon ses désirs, mais je ne reconnais pas le reflet du jeune homme châtain assez séduisant que je perçois dans le miroir au-dessus du comptoir. Ce n’est pas une célébrité, visiblement. Puis je vois l’entrejambe de notre cosplayeur du dimanche qui se tend, déjà à demi turgescent, comme s'il était atteint d'un espèce de priapisme. Son costume est coupé en triangle à deux endroits: au niveau du torse, parfaitement sculpté, et entre ses cuisses pour libérer son généreux organe. Je reprends mes esprits et le questionne :


Qui êtes-vous ?


– Supergay ou Ejacman, au choix. Et avant que tu ne poses la question, je suis là pour toi. Tes pouvoirs n’ont aucun effet sur moi. Donc soit tu viens avec moi, et nous travaillerons ensemble au service du bien, soit je t'arrête et tu finis dans les geôles d'une prison sécurisée comme un super-méchant.


Mais je n'ai rien fait de...


Allons voyons, tu croyais réellement que tu allais pouvoir diriger le monde comme ça, sans personne pour t'en empêcher ? Tu n'es pas le seul à avoir des capacités hors du commun. Mais ton intelligence peut servir une meilleure cause, et j'avoue que de revoir mon meilleur ami décédé il y a des années me donne plus envie de coucher avec toi que de te faire du mal...

Je ricane :


Mes pouvoirs sont sans effets sur toi, tu as dit.


Avec un petit sourire, il enlève la cape et exhibe son corps sculptural. Je ne sais pas si je suis sans effets sur lui, mais clairement je bande comme jamais. C'en est douloureux d'être si dur et comprimé dans mon jean. Son costume bleu électrique moulant qui laisse se balancer son anatomie est juste indécent! Mais qui autorise des héros dans ce genre ?


Il arrive face à moi en un battement de paupières, un sourire goguenard visible à travers son casque gris. Je suis paralysé, je ne comprends pas.


Allons Evan, ne fais pas ton timide, ce n’est que moi, Chris.


Je ne m’appelle pas Evan.


Je me prends une gifle monumentale qui me met au sol.


Tu as son apparence, sa voix, son odeur, alors laisse-moi croire que je revois mon mec. Sinon tu n’es qu’un misérable voleur d’identité, un pitoyable sociopathe qui utilise son pouvoir pour son simple profit personnel. Je t’ai donné un choix, lequel fais-tu ?


Je…


Il s’assied sur moi et je me retrouve avec son organe sous les yeux, j’avale ma salive avec difficulté. Ce héros encore plus sexy que Superman balade son sexe marmoréen devant moi, comme une invitation à la débauche. De tous ceux que j’ai séduit jusqu’ici, il est le plus monumental. Mais cette fois c’est différent, je ressens sa douleur, son espoir, ses désirs… et son amour ? Se pourrait-il qu’il m’offre ce qui me fait défaut, ce à cause de quoi je suis ce “pitoyable sociopathe” aujourd’hui ?


Je ne réfléchis plus, le désir est plus grand, et les vagues de sentiments qui ondulent entre Chris et moi, qui me frappent de plein fouet sans interruption, me rendent dingue. J’approche ma tête pour suçoter son gland, son sexe à moitié dur devient rapidement une branche épaisse et inébranlable. Il se met à se triturer les tétons, je l’entends soupirer.


Oh oui Evan, c’est si bon, continue…


            J’obéis comme si ma vie en dépendait. Chaque perle de mouille qui m’atterrit sur la langue me fait voir des souvenirs - les miens ou les siens ? Je ne fais plus la différence, je ne vois que lui.


            Non ! Je ne suis pas Evan ! Je ne veux pas aider les autres êtres humains ! Je recrache ce pieu délicieusement machiavélique et le repousse avec une force surprenante. Il se cogne contre la vitre du bar qui laisse voir le bâtiment en face, teinté de rouge, alors qu’il flotte dans les airs. J’ai évité de peu une incroyable douche de sperme : de longs jets blancs sont expulsés de son morceau tendu, et flottent autour de lui.


Evan, tu ne peux pas me résister. L’autre n’existe plus; il ne t’apporte rien de bon. Laisse-moi t’aimer.


Mais je ne suis pas Evan… Je suis… Qui suis-je ? Je vacille alors que j’essaie de me relever, je tombe sur le ventre. Ma langue tourne dans ma bouche, récupère les fragments éparpillés d'une vie, peut-être la mienne.


Je ne sais plus. Suis-je celui qui tombe dans ce trou sans fond, précipité par l'Abomination avant qu'elle n’y soit jetée à son tour? Je reviens à la réalité pour constater que les longs fragments séminaux sont en train de m'enlever mes vêtements, et que chaque contact sur ma peau me transmet les pensées de Chris. Pleines d'amour et de douceur. De désir et de tendresse. Puis ses vraies mains se posent sur moi, ainsi que son corps.


Evan...


Chris...


Laisse moi t'aimer...


... pour toute la vie...


... Et même après.


Fais moi l'amour Chris. Je suis vierge de ce côté. Il est à toi.


Je n'entends pas distinctement ce qu'il dit et ne comprends que le mot "chéri", qui me fait l'effet d'une dizaine de joints sur le cerveau. Je le vois enlever son casque, ce qui achève de faire sauter mes dernières hésitations : qui pourrait résister à ce regard coquin et amoureux, dans des yeux bleus-gris portés par le blond le plus sexy de l'univers ? Superman peut aller se rhabiller.


Ses lèvres se posent dans mon cou, ses caresses descendent dans mon dos, les flashs continuent - mélanges de tendre romance, de films à deux, de la promesse orale que je viens de lui redire avec un naturel ébahissant, de baisers volés à un petit copain ignorant la nature héroïque de son amant jusqu’à être traîné dans ce monde involontairement. La réalité reprend le dessus après une vision d’un soixante-neuf, le seul acte sexuel que j’ai fait jusqu’ici avec Chris. Je suis surchargé entre ses tendres gestes et les souvenirs qui affluent. Le contact humide sur mon anus me surprend, puisque sa langue joue avec le lobe de mon oreille, et que ses mains s’égarent le long de ma colonne vertébrale.


J’espère que si tu jouis en moi ça ne va pas bouger comme ça !


Il éclate de rire - un son cristallin si pur et si beau à mon oreille.


Bien sûr que non ! Si ça te perturbe trop je le laisse redevenir liquide.


J'hoche la tête et regarde le long filet blanchâtre qui tombe entre mes cuisses, laissant sa trace entre mes fesses. Je glisse un doigt dans ma raie, découvre l’ouverture glissante qui attend Chris. Dire que je n’ai rien senti d’autre que du plaisir : c’est ce qu’on appelle de la douceur !


Je t’aime Evan, de tout mon coeur. Et je te désire de tout mon corps.


Je sais. Moi aussi je t’aime. Oui je veux bien être ton acolyte.


Alors signons ce contrat dans le sexe !

Sa bouche empressée rencontre la mienne tandis qu’à l’autre extrémité de mon anatomie, son pieu entre dans mon intérieur déjà adapté à son calibre. D’une longue poussée, il frotte mon antre, je gémis de plaisir au contact de la chaleur incandescente qui me pénètre. Nos langues valsent, tournoient, nos lèvres ne se dessoudent pas alors qu’il commence un va-et-vient délicat. Son gland suave glisse en moi et je m’arque, délicieusement transporté par le plaisir. Je suis son mouvement pour le sentir au plus profond de moi, ondule comme un pro pour une première fois. C’est indescriptible, faire l’Amour avec celui qu’on aime dépasse tout, les sensations sont multipliées. Je me contracte en même temps que lui, sens couler quelque chose de mon intimité.

Il se retire de ma patinoire - certe pas artistique - et je regarde son sexe plein de sperme mélangé à ma jouissance. Il me prend dans ses bras et commence à s’élever dans l’air.


– Il fait super chaud ! On va aller prendre l’air.


Sous les étoiles, la nuit est magnifique. Nous ne sentons pas la fraîcheur, nos corps brûlants sont agités de contractions. Chaque mouvement de son organe m'électrocute, quelle sensation de plénitude il me donne! Les flashs ont cessé, il n'y a plus que lui, que j'embrasse avec force et désir. Il me tourne adroitement en vol et nous flottons sur place, plus préoccupés par notre soixante-neuf que par le reste du monde.


Il est tellement délicieux ! Et épais ! Je suis comblé par ses généreuses proportions - qu'on peut qualifier d'héroïques - ainsi que par la veine qui court tout le long de son bâton. Ultra sensible, ma langue passe sans interruption dessus, ses soupirs de plaisir sont si sensuels. Je ne suis pas en reste pour les gémissements, je n'ai jamais été aspiré avec tant d'enthousiasme. Sa bouche charnue fait des merveilles, que ce soit sur mes lèvres ou sur mon corps. J'essaie de regarder son magnifique visage en même temps que je m'occupe de sa raideur, il se rend compte de mon manège. Alors il se pose sur un des plus haut bâtiment de la ville tout en évitant le spot lumineux qui tourne dans la nuit, et appuie sur mes épaules. Les yeux dans les yeux, je m'occupe de la virilité entre ses cuisses. Rapidement, bien trop à mon goût, il pose sa main sur ma nuque et accélère le rythme, jusqu'à jouir. Je n'essaie pas d'avaler le geyser et le laisse s'écouler sur mon torse brûlant et entre mes cuisses. Il frôle mon entrejambe de son pied, me fait exploser en un instant, puis me tapote son sexe sur la joue.


Tu as fait quelques bêtises Evan, voilà ta punition. J'espère que ça te sert de leçon.


Je suis tout à toi, maintenant je peux être ton acolyte.


J'en suis ravi ! Je t'aime Evan.


Moi aussi Chris. Mais...


Quoi ?


J'aime toujours pas trop les gens. Et tu m'inondais pas tant quand je ne savais pas que tu étais un héros.


T'as jamais été très sociable ! Mais c'est ce qui me plaît chez toi. Et pour ça, tu peux pas savoir ce que c'est frustrant de se retenir ! C'est tellement mieux que tu saches qui je suis réellement. Mon Gayboy.


Ahah on dirait une de ces vieilles consoles rétro qu'on trouve dans les vieux musées de la technologie du XXIe siècle !


Oui mais c'est surtout ton nom de héros, celui d'acolyte de Supergay !


Je hausse les épaules et ris avec lui, je me fiche de tout ça, l'essentiel c’est que je l'ai lui. Et que, tout métamorphe que je sois, c'est cette apparence qui sera la mienne pour longtemps...


*

Writed and created by ValentinPititga


Inspired and co-directed by SweetDamien


Illustrated by no image from nowhere


With no copyright for the Marvel Cinematic Universe or the Mec Idéal Literary Universe


Heros story N°1, date of redaction 05/26/2019


All right reserved


Copyright N°92 “If you understand why there is this number you can win something, try commenting”

*

Post crédit scène :


Je me réveille dans le lit de Chris, en sueur. Il n’est pas là, à côté de moi. Je suis encore tremblant de mon rêve. Je l’appelle doucement, la voix mêlée de sanglots.


Chris ! Chris !


Je suis là Evan, qu’est-ce qu’il y a ?


Si moi je suis revenu, qu’en est-il de l’Abomination ?


Je vois les mâchoires de Chris se serrer et il me prend dans ses bras.


Ne t’en fais pas, tu es en sécurité avec moi.


Il me prend dans ses bras et je me laisse bercer, mélangeant dans mes rêves notre passé à deux et autre chose, et je me mets à espérer que le rêve ne soit qu’un délire de ma “résurrection”.


***

 

"Aucune reproduction, même partielle, autres que celles prévues à l'article L 122-5 du code de la propriété intellectuelle, ne peut être faite de cette œuvre sans l'autorisation expresse de l'auteur".

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